3 août 2008
7
03
/08
/août
/2008
16:03
Un ouvrage qui n'est pas traduit en français: The mill on the Floss; récit partiellement autobiographique de George Eliot (1819-1860) qui relate sa vie et l'éternel conflit entre le devoir et le désir de remplir intellectuellement une vie morne, ce que l'auteur accomplit en se nourrissant de lectures et de l'apprentissage de langues (allemand, latin...).
Dans "the mill on the floss", il est question d'un amour "scandaleux" avec un homme marié; l'auteure a vécu un temps avec un homme lié par les liens sacrés du mariage, il s'agit de George Henry Lewes, écrivain, qui avait conclu un pacte avec son épouse, celui de vivre un mariage "ouvert" et donc de se livrer à l'adultère(il a d'ailleurs reconnu les trois enfants adultérins de son épouse).
The mill on the Floss, à l'instar de Middlemarch dépeint la société rurale à l'ère victorienne; l'ouvrage est également une analyse de la psychologie féminine et de la complexité qui existe entre moralité et désir.
George Eliot, de son vrai patronyme mary Ann Evans, avait emprunté un nom masculin pour que l'on cosidère son travail d'un point de vue littéraire et non comme des romances sentimentales; il est à noter qu'à l'ère victorienne, les femmes n'étaient pas sensées avoir comme occupation l'écriture, si bien que les soeurs Brontë prirent comme nom d'emprunt Currer, Ellis et Acton Bell.
George Eliot reconnue comme grand écrivain aurait pu être enterrée à Westminster, mais, "en délicatesse" avec l'Eglise et à cause de sa vie sentimentale "immorale", elle repose au cimetière de Highgate à Londres, aux côté de son amant George Henry Lewes dans le carré des "dissidents religieux".
Dans "the mill on the floss", il est question d'un amour "scandaleux" avec un homme marié; l'auteure a vécu un temps avec un homme lié par les liens sacrés du mariage, il s'agit de George Henry Lewes, écrivain, qui avait conclu un pacte avec son épouse, celui de vivre un mariage "ouvert" et donc de se livrer à l'adultère(il a d'ailleurs reconnu les trois enfants adultérins de son épouse).
The mill on the Floss, à l'instar de Middlemarch dépeint la société rurale à l'ère victorienne; l'ouvrage est également une analyse de la psychologie féminine et de la complexité qui existe entre moralité et désir.
George Eliot, de son vrai patronyme mary Ann Evans, avait emprunté un nom masculin pour que l'on cosidère son travail d'un point de vue littéraire et non comme des romances sentimentales; il est à noter qu'à l'ère victorienne, les femmes n'étaient pas sensées avoir comme occupation l'écriture, si bien que les soeurs Brontë prirent comme nom d'emprunt Currer, Ellis et Acton Bell.
George Eliot reconnue comme grand écrivain aurait pu être enterrée à Westminster, mais, "en délicatesse" avec l'Eglise et à cause de sa vie sentimentale "immorale", elle repose au cimetière de Highgate à Londres, aux côté de son amant George Henry Lewes dans le carré des "dissidents religieux".