Dans un bureau de poste en Irlande, un bureau de poste comme on n’en fait plus, sauf en Irlande, j’ai pris un magazine publicitaire dans lequel il y avait un article d’une psychologue que je vous livre ici, traduit de l’anglais naturellement.

       « Vous prenez des décisions tous les jours, pour différents propos, mais imaginez simplement que vous preniez  la décision, un jour, d’être heureux.

       La capacité, que nous avons, à apprécier la vie, la capacité,  que nous avons, à  être heureux est la plus grande des qualités que nous ayons dans la vie. Qu’est-ce qui peut aller mal, si vous, vous avez par avance, décidé de toujours être heureux.

        Imaginez qu’en vous levant un matin, vous vous dites, peu importe ce qui va arriver aujourd’hui, peu importe ceux qui vont s’ingénier à essayer de me frustrer ou de me mettre en colère, je ne m’écarterai  pas de ce que j’ai décidé : me sentir bien dans ma vie. Personne n’a le pouvoir de me faire dévier de ce but, parce que je possède un pouvoir intérieur, et je possède mes choix propres. Rien ne peut entraver cette marche, à moins que je n’abandonne volontairement ce pouvoir.

       Ceci signifie que vous corrigez vos sentiments, vos réactions dès que ceux-ci se manifestent… en d’autres termes, si vous remarquez que quelque chose qui se produit vous menace et vous ferez adopter  une attitude négative, vous choisissez alors une autre alternative, car vous savez que vous en avez le choix, que tout dépend  de votre décision. C’est quelque chose qu’il faut se répéter sans cesse, puisque à l’instar du marketing, la psychologie est une affaire de répétition.

      Et si vous commencez aujourd’hui à faire le choix d’être heureux, votre vie commencera à changer aujourd’hui.

      Cette psychothérapeute mentionne des ouvrages, en anglais bien sûr, qui sont les suivants :

-         « Happiness is a choice » de Barry Neil Kaufman

-         « The biology of belief » du docteur Lipton

-         « The astonishing power of emotions » de Esther et Gerry Hicks

      Essayer ne peut pas faire de mal, c’est peut-être long pour arriver à un résultat, et je me demande si le docteur Coué, en son temps, n’avait pas déjà préconisé la répétition pour soigner les maux….je vais bien bien, tout va bien ! comme dit un certain humoriste….du Nord.