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  • gars du nord
  • je suis né dans le Pas-de-Calais en 1953
 J'aime la folk music surtout américaine la musique celtique la langue de Shakespeare, le théâtre, je gratte un peu la guitare; je travaille dans un lieu de vie pour personnes plus âgées....
  • je suis né dans le Pas-de-Calais en 1953 J'aime la folk music surtout américaine la musique celtique la langue de Shakespeare, le théâtre, je gratte un peu la guitare; je travaille dans un lieu de vie pour personnes plus âgées....

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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 14:23

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les membres de l’Université pour tous d’Arras (UPTA) ont pu assister dernièrement à l’excelllente conférence de Yannic MANCEL, homme de théâtre  et enseignant dans différentes universités de notre région.

La conférence s’intitulait « De l’invention de la mise en scène moderne au théâtre post-dramatique : un siècle d’histoire de la scène. » l’intervenant connaît son sujet et aime le faire partager à notre grande satisfaction.  Yannic Mancel nous a livré un très intéressant aperçu de l’évolution du théâtre depuis le 19ème siècle à nos jours. Certes, le théâtre ne peut être figé, et Victor Hugo avec son Hernani et l’explication qu’il nous donne de sa conception du théâtre dans sa préface de « Cromwell » nous a montré une voie de ce qu’il est possible, nécessaire aussi, de créer.

   Et depuis,  la production théâtrale s’est réinventée ou pas proposant au spectateur de nouvelles « formes », et l’on constate depuis quelques années un mélange (je parle de mélange puisque Yannic  Mancel  a étoffé son propos en faisant allusion à la salade composée) des genres dans les spectacles qui nous sont proposés ; les spectacles mêlent, en effet, toutes les formes de spectacle connues : musique, danse, acrobaties, cirque, objets et autres breloques. Yannic Mancel insiste sur le fait que  cette salade doit être mélangée délicatement, qu’il faut y distinguer tous les ingrédients. Bien. Nous avions le nouveau roman, la nouvelle vague, la nouvelle cuisine, voici donc le nouveau théâtre que vous êtes prié de goûter, d’apprécier…. D’autant que pour les béotiens, il existe de nos jours, l’Ecole du Spectateur, préalable à la bonne compréhension ou appréhension  de la création.

Création, le mot est de mise dans notre  monde culturel, ce qui fait dire au sociologue jean-Pierre le Goff que l’on oublie les œuvres pour la  création contemporaine, sorte d’auberge espagnole.

   S’il convient d’innover, innovons, mais pourquoi veut-on à toutes fins, de gré ou de force, nous imposer  ces formes théâtrales dans nos lieux de diffusion de la culture ?  Yannic Mancel  se dédouane en nous faisant remarquer qu’il n’est pas programmateur et qu’il faudrait évoquer la situation avec les directeurs des centres culturels (qui refuseront de toutes façons d’accéder aux demandes de spectateurs) et que par aillleurs, si nous nous penchons  sur la programmation de Tandem, par exemple, pour la saison 2016/2017, nous pourrons constater que deux œuvres y figurent ; c’est entendu, deux œuvres sur l’ensemble d’une saison, c’est peu.

Durant cette conférence, un parallèle a été  établi avec l’art pictural, son évolution (sa nécessaire évolution) à travers les âges ; art pictural qui a au moins une vertu : laisser la possibilité aux amateurs de croiser les œuvres selon ses goûts, ses envies, ses émotions. Ce qui n’est pas le cas du théâtre qui est un art éphémère et tributaire des « effets de mode ».

S’il est indispensable d’assimiler l’inévitable évolution créatrice du théâtre contemporain  de crainte de paraître inculte, serons nous par ailleurs contraints de nous extasier devant un tableau à l’intitulé suivant : « carré blanc sur fond blanc » ?

Dans un avenir plus ou moins proche, peut-être la performance se substituera-t-elle au théâtre ; nous ressentirons alors une émotion incomparable devant une scène vide d’acteurs où un amas de poussières s’envolera sous l’effet d’une brise venue du côté cour ou jardin.

                                                 

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5 avril 2012 4 05 /04 /avril /2012 14:25

Actuellement le musée de Cassel, qui s'est relancé il y a deux ans, présente une exposition temporaire d'un peintre anversois: Eugeen van Mieghem;  il s'est découvert une âme de peintre très jeune, lorsque sa mère lui offre une boîte de peintures alors qu'il était malade.

Il a par la suite été ébloui par les peintures de Van Gogh, de Seurat,Toulouse-Lautrec; ces peintres l'orienteront vers une peinture réaliste, on l'a d'ailleurs surnomé peintre des gens simples, du petit peuple. Iltrouvait son inspiration autour du port d'Anvers. Il connut le succès en 1901, lors du salon "La libre ésthétique"à Bruxelles, ses oeuvres sont exposées aux côtés de Monet, Cézanne, Pisaro, Renoir,Vuillard; c'est ce qui transparaît dans ses tableaux, parfois  on se sent chez Renoir, d'autres ches Pissaro...

Van Mieghem perd son épouse en 1904 et n'expose plus avant 1910; en 1919, il expose des toiles dédiées à la guerre, il est remarqué par la critique (c'est long, la reconnaissance) puis est nommé professeur à l'Académie d'Anvers. Il exposera jusqu'à la fin de sa vie en 1930.

(L'exposition dure jusqu'au 24 juin 2012).

 

    

 

 

    

 

 

 

 

 

    

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 17:51

Canterbury-Cathedral.jpg images.jpeg

La Via Francegina  est le plus important chemin de pélerinage du Moyen Age vers Rome en partant du Nord. La Via Francegina relie Canterbury,( ville fondée par Saint Augustin au VIème siècle -Saint Augustin de Canterbury ,pas celui d'Hippone)à Rome et a été mentionnée dans des écrits au IXème siècle. Sigeri, archevêque de Canterbury l'emprunta à la fin du Xème siècle pour recevoir  du pape Jean XV les attributs de sa fonction.; il fit le détail de la route qu'il parcourut en 80 étapes longues d'une vintaine de kilomètres pour atteindre un total de 1700 km. Ce chemin épouse le tracé de l'ancienne voie romaine dite chaussée Brunehaut.

 

Aujourd'hui encore nombreux sont les pélerins qui marchent sdans les pas de Sigéric, notamment en Italie, mais à l'inverse du chemin de Compostelle, la route suivie manque de solutions d'hébergement et de lieux de  restauration, aussi en Italie les pélerins campent sur le bord de la route. On pourra bientôt suivre ce chemin en bicyclette sur une piste cyclable qui sera  construite sur un tracé qui rejoindra  la Via Francégina en de nombreux points.

 

Le chemin du pélerinage de Sigéric a été inscrite au répertoire des routes culturelles par le Conseil de l'Europe en 1994; cependant une restauration est nécessaire pour restituer des tronçons disparus.

 

La Via Francégina susscte un engouement de la part des marcheus, des cyclistes et des cavaliers; dans le Pas -de-Calais, elle traverse les villes de Wissant, Guînes, Therouanne, Bruay, Arras, Reims, puis file à travers la Champagne, le Jura, gravit le col du Grand Saint Bernard avant de cheminer à travers l'Italie pour rejoindre Rome.

 

 

Vatican-copie-1.jpg pelerin.jpg

 

 region4_03-copie-2.jpeg

 

 

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 10:25
 

Titus, fils de Vespasien, aime Bérénice, reine de Palestine, et en est aimé. À la mort de son père, il s’apprête à devenir l’empereur du monde romain. Mais Rome, qui a chassé ses rois à jamais, ne saurait souffrir un sang royal à la tête de son empire. Titus doit donc choisir entre le pouvoir et l’amour. Comment quitter l’être qu’on aime et, surtout, comment le lui dire ? L’entremise d’Antiochus, roi de Comagène, ami fidèle de Titus, et amoureux transi de Bérénice, ne fera que retarder davantage l’implacable échéance, l’impossible aveu, l’acceptation définitive : « Je vous aime, mais je vous quitte. » Cette décision repose sur un choix qui n’en est pas un – puisque l’amour ne peut pas mourir – et scelle le destin des trois héros de cette tragédie. L’intrigue y est réduite à sa plus simple expression, et la pureté mélodieuse de la langue y exprime la vérité de l’émotion comme rarement chez Racine

 

A Bethune l'année 2011 était placée sous le signe de la culture puisque la ville avait été désignée comme capitale régionale de la Culture. Elle s'est récemment terminée  avec la venue de la Comédie Française.

 

Qulle prestation, même si l'intrigue est mince, le jeu des acteurs, leur diction et les vers de Racine ont opéré la magie d'ensorceller l'auditoire qui est demeuré attentif deux heures durant;. On en redemande !

 

 

 

 

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 19:05

Dimanche 16 octobre 2011, pour la quatrième fois dans la région depuis les années 90, bob Dylan arrive....accompagné de Mark Knoppfler; je me sus dit que Dylan allait devoir se mettre à la guitare, mais j'ai des doutes d'autant qu'on me dit que chaque artiste joue chacun de son côté, le guitar hero d'une part, de l'autre la légende vivante.

 

Bon on verra;la dernière fois que j'ai vu Dylan à Lille au Zénith il y a deux ou trois ans il jouait du synthé et je ne reconnaissais les morceaux qu'en écoutant les paroles strange isn't it!! j'ai même failli partir.

J'ai bien cherché des critiques sur des journaux britanniques mais comme la tournée ne fait que commencer, je n'ai encore rien trouvé.

 

 

 

 

 

 

 

 
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6 novembre 2010 6 06 /11 /novembre /2010 19:19

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Jeudi et Vendredi dernier, on donnait Hamlet de qui vous savez à l'Hippodrome de Douai.

Le texte a été re-traduit et à mon avis bien re-traduit, utilisant des mots d'aujourd'hui, ce qui peut surprendre mais comme on ne joue plus que rarement les pièces élisabéthènes en costume, rien ne choque. Pascal Collin en est le traducteur, il est également dramaturge donc rien à redire du texte.

Comme d'habitude, je suis  parti avec mes a-priori sur les mises en scène d'aujourd'hui de Shakespeare et comme bien souvent j'ai été agréablement surpris par la qualité du travail de David Bobee, le metteur en scène. La pièce d'une durée de 3heures 15 nous a captivés, que de boulot de scénographie et d'éclairage....j'émettrais un seul bémol, le jeu un peu inégal des acteurs, j'ai retenu Claudius et Polonius(le traducteur) qui furent excellent et j'ai bien aimé les deux trisomiques qui incarnaient les comédiens (de vrais professionels); comme quoi, les travailleurs handicapés ont leur place partout.

Merci à la Compagnie Rictus et bon vent pour la tournée!

 

 

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 10:42

Après un séjour dans le Finistère Sud non loin de Pont-Aven et des célèbres peintres qui y fondèrent l'école de Pont-Aven(Gauguin ...)je me suis dit que des peintres avaient une renommée kolossale mais que nombre de peintres ont laissé des toiles qui procurent autant d'émotion mais qui passe au second plan et j'avais en mémoire une visite au musée de Berck où j'ai pu découvrir le travail des peintres qui vécurent sur la côte d'Opale....notamment Tattegrain

 

Francis Tattegrain, né à Péronne le 11 octobre 1852 et mort à Arras le 1er janvier 1915, est un peintre français.

Il est issu d’une longue lignée de magistrats et d’une des plus anciennes familles de Péronne, ce qui explique que le jeune Francis ne reçoit l’approbation paternelle pour s’adonner à la peinture que contre la promesse d’entamer des études de droit. Il obtient donc brillamment son doctorat en droit pour ensuite ne plus se consacrer qu’à la peinture.

Francis Tattegrain découvre Berck (62) en compagnie de ses parents dès 1865. Son père, président du tribunal d'Amiens, y fait construire un chalet au 28, rue de l'Entonnoir. Le lieu de vacances du jeune Francis deviendra le cadre principal de son œuvre picturale.

Sur l'incitation de Lepic et encouragé par son frère Georges (sculpteur), il poursuit sa formation artistique à Paris.  Dès 1879, deux de ses toiles sont admises au Salon où il sera présent, sans interruption, jusqu'en 1914.

Ce statut de peintre officiel , est consacré avec la commande, pour l'Hôtel de ville de Paris de l'Entrée de Louis XI à Paris (1892) et plus tard, de la Cérémonie des récompenses. Exposition universelle de 1900 (1904) lui vaut souvent d'être classé parmi les peintres « pompiers », raccourci passablement fallacieux.

Certes peintre d’histoire, aquafortiste pendant une brève période vers la fin des années 1870 et début des années 1880, portraitiste, Tattegrain est avant tout un maître du naturalisme marin. Ses compositions sont souvent d’un réalisme hardi, mais toujours harmonieuses ; sa peinture franche, son coloris juste, soulignent ces drames d’ordinaire rendus très voyants par leurs grandes dimensions. Son territoire de prédilection est la baie d'Authie où il a acquis 100 hectares de dunes et bâti un atelier lui permettant de réaliser les grands formats en éclairage naturel. Il travaille également sur l'ensemble du littoral de la Côte d'Opale, jusque vers Wissant. Francis Tattegrain meurt dans le Pas-de-Calais durant la Première Guerre mondiale.

« Le 1er janvier 1915, la palette à la main, l’illustre peintre Francis Tattegrain mourait à 63 ans, au champ d’honneur, alors qu’il reconstituait, sous les obus, l’esquisse du beffroi d’Arras. »

 

 

5.jpgtattegrain-ramasseuse-boulogne.jpg 1-copie-1.jpg

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 14:12
on pourra me faire le reproche de ne pas me casser pour les articles...c'est vrai pour certains, mais je me déplace sur les sites,je prends des photos et des articles j'en écris aussi mais pour éviter la redondance d'articles sur le même sujet, oui c'est vrai, je pratique le copier-coller. M'en tiendrez-vous rigueur ?
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C'était le premier grand temps de fort de la journée d'hier. Les fanfares se sont éclipsées ...

 

vers 17 h 30 pour laisser la Grand-Place à la Compagnie n°8, née en 2008 avec déjà trois spectacles à son actif. Leur dernière création, Homo Sapiens Burocraticus, évoque l'univers impitoyable du travail, thème récurrent de cette troupe parisienne.

« On dirait tout sauf des artistes », lâche une jeune spectatrice au bras de sa mère en rentrant instinctivement dans le rythme du spectacle : on suit-la-troupe-et-on-se-pose. On suit-la-troupe-et-on-se-pose encore... Costumes sombres, tailleurs cintrés, cheveux laqués ou en chignon. Ils sont hommes et femmes d'affaires. Ils sourient crispés et marchent au pas. Se mettent en rang. Pour un noeud de cravate « de m ... », une série de pompes. Ça ne rigole pas.

 

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« Un thème plus que d'actualité »

Enfin si, justement ! Pendant plus d'une heure, la foule ne lâchera pas les artistes d'une, allez, de deux semelles. Car le spectacle est visuel et les artistes ont besoin d'évoluer dans l'espace. Alors on agrandit le cercle. C'est préférable. Une bousculade entre collègues tourne au combat de catch, les attachés-cases se mettent à tournoyer sur des airs un brin militaires. Nos courageux travailleurs s'accaparent le décor de la Grand-Place, allant jusqu'à grimper sur les grilles du Crédit du Nord.

Dénuée de paroles, ou presque, cette histoire prend un sens universel. Et c'est là le but recherché, expliquent les auteurs Alexandre Pavlata et Philippe Ménard, sans cesse inspirés par Kafka. « Le travail un thème plus que d'actualité, indique le premier. Il est aujourd'hui poussé à l'extrême, à cette folie du rendement. » Une folie qui conduit, dans ce spectacle, à des scènes plus impitoyables les unes que les autres.

Le problème, selon Maria, une trentaine d'années, venue d'Amiens, c'est que cette création « parle vraiment de ce qui nous arrive. Certes, ils le jouent. Mais ce n'est pas une fiction, c'est la réalité. » C'est aussi l'avis de Véronique, une Béthunoise de 46 ans. « Cela me rappelle un peu mes anciennes conditions de travail. Heureusement, ça ne s'est pas fini comme ça ! » La fin à découvrir cet après-midi si vous ne la connaissez pas encore... •

 

CÉLINE WLODARSKI    "La Voix du Nord"

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 18:50

 

Annette Messager est née à Berck sur Mer en 1943, elle interrompt ses études aux Arts décoratifs de Paris à la veille de mai 68, et gagne sa vie en vendant de menus objets de sa confection. C'est à cette époque qu'elle réunit ses premières Collections, albums de photographies et de sentences extraites de la presse qu'elle annote et modifie. La galerie Germain lui commande en 1971-1972 une œuvre avec de la laine : Messager crée Les Pensionnaires, alignement de moineaux empaillés et emmaillotés dans des tricots. Elle rompt alors avec la vente d'objets confectionnés pour entamer une création continue, qu'elle expose à Munich en 1973 puis à l'ARC en 1974. Cette même année elle est remarquée pour sa Collection de proverbes, anthologie d'idées reçues sur la femme qu'elle brode sur des carrés de coton blanc. Ses travaux se structurent progressivement et sont exposés à l'échelle internationale.

 

J'avais vu dans le journal local "la Voix du Nord" une photo représentant une oeuvre d'Annette Messager et lors d'une visite à Paris, nous sommes allés voir une exposition sur la Vanité au Musée Maillol; notre guide érudit (mon neveu) nous posa une devinette: d'où est originaire Annette Messager"? pas de réponse de notre part, mais nous aurions pu trouver la réponse si nous avions eu un indice du genre l: lieu de villégiature du Pas-de-Calais; car mon neveu et nous mêmes y avons fait de nombreux séjours.... J'ai trouvé très originale cette tête de mort confectionnée avec des gants de laine et des crayons de couleurs, elle était bien moins lugubre que d'autres oeuvres.

 

Annette-Messager-Annette--010.jpgmessager2.jpg

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28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 17:14
326507-la-maison-du-projet-dsc_0516.jpgDepuis peu, à côté du chantier du musée, situé dans ce qui fut le centre Bernanos, la Maison du Louvre propose de découvrir ce que sera le Louvre à Lens; le projet est ambitieux car il a pour vocation à succiter l'intérêt de la population locale pour les oeuvres d'art. Le musée présentera les métiers liés au musée et dévoilera la vie des oeuvres.Le musée sera très contemporain dans sa conception "intelectuelle" puisqu'il proposera des visites avec l'appui des nouvelles technologies et de la communication; le musée se veut lieu de fréquentation et de visite, mais le but avoué est d'amener le public à s'approprier le site, par des visites thématiques, des conférences en lien avec les expositions. Un centre de ressources sera disponible pour approfondir ses connaissances. Non seulement musée, le Louvre-Lens sera également un lieu de promenade avec son parc de 22 hectares.

Le musée comrendra un hall d'accueil donnant accés à une mezzanine offrant la vue sur les réserves et les espaces de préparation des oeuvres. Le musée exposera donc ses coulisses à la vue de chacun.. A ce niveau, un petit auditorium de 300 places et des salles d'activités et de formation seront à la disposition des visiteurs. Il y aura une salle d'exposition de grande capacité .
Un restaurant est prévu dans le paec, et une librairie offrira un choix d'ouvrages sur l'art. En fait, tout tend à faire de ce site, un lieu de convivialité où l'on pourra se promener,se restaurer, se cultiver, voir des oeuvres et écouter des conférences, se former aux arts.
Le bassin minier est sur le bon chemein, jamais je ne serais imaginé entrer dans un office du tourisme à Lens -et  dynamique en plus-oui! le territoire se métamorphose, et ce n'ait pas pour nous déplaire.


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